Devant le tribunal correctionnel de Paris, l’ancien président de la République, son avocat Thierry Herzog et l’ancien procureur général de la Cour suprême Gilbert Azibert ont répondu «corruption» Et «traite des personnes» dans les deux derniers points, a également ajouté le «délit de violation du secret professionnel».
Une objection a été déposée auprès de M. Sarkozy et Herzog a utilisé M. Azibert en 2014 pour rechercher des informations confidentielles sur la décision prochaine de la Cour suprême de saisir l’ordre du jour du président, et a même tenté d’exercer une influence dans un sens en faveur de l’ancien chef de l’Etat en échange du juge monégasque poste honoraire.
L’avis de la Cour suprême d’appel va à l’encontre des souhaits de M. Sarkozy et M. Archiebert n’a pas obtenu le poste convoité